- MINGO
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La premiere, :
SI il n'est pas envisagé d'utiliser un fan a court terme, devons nous faire en sorte qu'une GRANDE quantitée d'air passe par le bas ?
J'explique :
oui il y a la porte d'entré d'air qui est tout le temps ouverte plienne grandeur, moi j'en ai jamais vu une entre-ouverte, et j'ai remarqué que partout ou je suis allé, les acériculteurs avais surélevé leur évapo et fermé le bas de différente façon afin de faire une boite a cendre avec cet espace, devrions nous laisser des espaces entre les briques, les blocs de ciments ou autre ?
Pour avoir une plus grande apport d'air, et avoir un meilleur control avec la clé par la suite ????
OUI ma premiere question comprend plusieurs question.
encord une fois, PARTOUT ou je suis allé, j'ai remarqué que les acériculteurs n'étaient pas en mesure d'avoir un bon control de la chaleur du pot a feu,
etape 1 : ont met du bois et la chaleur augmente et les bouillons s'intensifis
étape 2 : temps de combustion égal et soutenu pendant un certain temps et ca bouille en grand
étape 3 : diminution du feu (chaleur) de plusieurs centaine de degré, réduction de bouillons
et retour a l'étape 1
Une fois l'analyse de combustion des gas bien établi et controlé,
serait-il souhaitable d'installer une sonde avec allarme pour établir un écart de température désiré dans la chambre a combustion ?
Dans une des formation que j'ai prise en Ontario (c'est pas qu'ils sont meilleur la-bas, mais c'est la que la formation ce donnais) le formateur disait que la temperature du pot a feu est le deuxieme facteur en importance pour avoir une qualité de sirop, et que très peu d'acériculteurs comprennent ça, .
SI il n'est pas envisagé d'utiliser un fan a court terme, devons nous faire en sorte qu'une GRANDE quantitée d'air passe par le bas ?
J'explique :
oui il y a la porte d'entré d'air qui est tout le temps ouverte plienne grandeur, moi j'en ai jamais vu une entre-ouverte, et j'ai remarqué que partout ou je suis allé, les acériculteurs avais surélevé leur évapo et fermé le bas de différente façon afin de faire une boite a cendre avec cet espace, devrions nous laisser des espaces entre les briques, les blocs de ciments ou autre ?
Pour avoir une plus grande apport d'air, et avoir un meilleur control avec la clé par la suite ????
OUI ma premiere question comprend plusieurs question.
encord une fois, PARTOUT ou je suis allé, j'ai remarqué que les acériculteurs n'étaient pas en mesure d'avoir un bon control de la chaleur du pot a feu,
etape 1 : ont met du bois et la chaleur augmente et les bouillons s'intensifis
étape 2 : temps de combustion égal et soutenu pendant un certain temps et ca bouille en grand
étape 3 : diminution du feu (chaleur) de plusieurs centaine de degré, réduction de bouillons
et retour a l'étape 1
Une fois l'analyse de combustion des gas bien établi et controlé,
serait-il souhaitable d'installer une sonde avec allarme pour établir un écart de température désiré dans la chambre a combustion ?
Dans une des formation que j'ai prise en Ontario (c'est pas qu'ils sont meilleur la-bas, mais c'est la que la formation ce donnais) le formateur disait que la temperature du pot a feu est le deuxieme facteur en importance pour avoir une qualité de sirop, et que très peu d'acériculteurs comprennent ça, .
- Yves Coté
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une regle de physique...je ne sais pas si elle s applique est que rien ne se perd rien ne se crée, tout ce transforme
si il entre plus d'air, cet air aide la combustion et devient du co2 (je pense) et doit sortir quelques part
en augmentant la combustion, bien sur il y aura plus de chaleur dégagée du feu, qui elle sera produite par la plus grande quantité d'air qui entre mais aussi de bois.
C'est comme ma fournaise dans le sous sol, si j'ouvre l'entre d'air il en sortira plus par la cheminée...... et si tu ferme trop la sortie...les feu va mourir dans sa boucanne.... a moins que le co2 produit par la combustion sorte ailleur...comme entre les pannes....et si tu es vraiment etanche bien ca fera comme ma fournaise, elle va mourir
Mais tu sais toutes découverte vient d'un questionnement et des essaies faites
Pour ce qui est du surélevage des bouilleuse, a mon avis c'est plus pour le confort lorsque tu chauffe cette derniere.
Quand on etaient au bois (chez mon pere) on avait une 5 x 14...et meme une grosse bouilleuse comme cela pour avoir les portes a une certaine hauteur, fallait les surélevées...sinon tu devais les chauffées a genoux...et a brule des 4-5-10 corde de 24 po/jours ca devaient pas etre evident, beaucoup plus que pour augmente la grosseur du bac a cendre...a mon avis
On me reprendra mais le gain energitique doit etre lorsque tu est sur la limite entre une bonne combustion vs la sortie de chaleur par la cheminée qui elle sort parce que l'air entre dans la combustion et sans cette air il y en aurait pas combustion
le reste de faire entre plus d'air, oui si elle est bien controle va faire bouillir plus mais aussi fera explosé la consommation de combustible.
Je ne suis pas chimiste, physicien ou expert en combustion mais c est ma deduction, si ca peux aide...sinon ca a ete un peu de lecture a tout de moins
si il entre plus d'air, cet air aide la combustion et devient du co2 (je pense) et doit sortir quelques part
en augmentant la combustion, bien sur il y aura plus de chaleur dégagée du feu, qui elle sera produite par la plus grande quantité d'air qui entre mais aussi de bois.
C'est comme ma fournaise dans le sous sol, si j'ouvre l'entre d'air il en sortira plus par la cheminée...... et si tu ferme trop la sortie...les feu va mourir dans sa boucanne.... a moins que le co2 produit par la combustion sorte ailleur...comme entre les pannes....et si tu es vraiment etanche bien ca fera comme ma fournaise, elle va mourir
Mais tu sais toutes découverte vient d'un questionnement et des essaies faites
Pour ce qui est du surélevage des bouilleuse, a mon avis c'est plus pour le confort lorsque tu chauffe cette derniere.
Quand on etaient au bois (chez mon pere) on avait une 5 x 14...et meme une grosse bouilleuse comme cela pour avoir les portes a une certaine hauteur, fallait les surélevées...sinon tu devais les chauffées a genoux...et a brule des 4-5-10 corde de 24 po/jours ca devaient pas etre evident, beaucoup plus que pour augmente la grosseur du bac a cendre...a mon avis
On me reprendra mais le gain energitique doit etre lorsque tu est sur la limite entre une bonne combustion vs la sortie de chaleur par la cheminée qui elle sort parce que l'air entre dans la combustion et sans cette air il y en aurait pas combustion
le reste de faire entre plus d'air, oui si elle est bien controle va faire bouillir plus mais aussi fera explosé la consommation de combustible.
Je ne suis pas chimiste, physicien ou expert en combustion mais c est ma deduction, si ca peux aide...sinon ca a ete un peu de lecture a tout de moins
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Tu m'a presque donné mal a tête YVES, résume moi ça, genre, je ferme les briques étanche dans l'bas ou pas ?
Car me semble que la trappe n'est jamais suffisante. et que c'est pour ça que les gars ajoute des fan...non ?
Car me semble que la trappe n'est jamais suffisante. et que c'est pour ça que les gars ajoute des fan...non ?
- casseau
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double combustion ! j'aimerais bien appliquer ca a une petite bouilleuse pas de ventilateur
Certains poêles sont équipés d'un système dit de double combustion (également appelée post combustion). Cette double combustion permet d'optimiser les performances du poêle tout en limitant la pollution liée à la combustion. Qu'est-ce que c'est ? Comment ça marche ? Quelques explications.
LE PRINCIPE DE LA COMBUSTION
Pour comprendre la double combustion, il faut revenir sur les principes de base de la combustion du bois . Lors de la combustion, le feu utilise le dioxygène contenu dans l'air comburant. C'est pourquoi les poêles sont équipés d'une arrivée d'air : c'est elle qui alimente le feu. Or, le « problème » vient du fait que, cette première combustion est rarement complète. C'est-à-dire que le feu ne peut jamais avoir assez de comburant (le dioxygène contenu dans l'air), pour achever la réaction d'oxydoréduction.
La combustion incomplète a donc deux effets : elle ne permet pas d'exploiter tout le potentiel énergétique du combustible et peut être davantage polluante.
LE PRINCIPE DE LA POST COMBUSTION
Pour compenser cette combustion incomplète, la seule solution est donc d'exploiter ces gaz issus de la première combustion. Pour cela, il faut une seconde arrivée d'air qui apportera du comburant (toujours le dioxygène) qui servira à « brûler » ces gaz : la première arrivée d'air apportant le comburant de la première combustion.
Cependant, l'air comburant nécessaire à la combustion des gaz issus de la première combustion doit impérativement avoir une température minimum de 573°C. Sans quoi, il ne peut y avoir de seconde combustion. En outre, il faut pouvoir ralentir l'évacuation de ces gaz pour pouvoir les brûler avant qu'ils s'échappent par le conduit.
C'est pour répondre à cette double exigence que les poêles à double combustion bénéficient d'une conception spécifique qui permet d'une part de ralentir les gaz et de les récupérer et d'autre part de réchauffer, grâce à l'énergie générée par la combustion, l'air secondaire.
Il y a ainsi bel et bien une seconde combustion, qui se fait après la première (d'où les désignations de double ou post combustion) et qui permet d'augmenter la récupération de l'énergie produite par le combustible (et donc le rendement du poêle) et de limiter les émissions de polluants.
Certains poêles sont équipés d'un système dit de double combustion (également appelée post combustion). Cette double combustion permet d'optimiser les performances du poêle tout en limitant la pollution liée à la combustion. Qu'est-ce que c'est ? Comment ça marche ? Quelques explications.
LE PRINCIPE DE LA COMBUSTION
Pour comprendre la double combustion, il faut revenir sur les principes de base de la combustion du bois . Lors de la combustion, le feu utilise le dioxygène contenu dans l'air comburant. C'est pourquoi les poêles sont équipés d'une arrivée d'air : c'est elle qui alimente le feu. Or, le « problème » vient du fait que, cette première combustion est rarement complète. C'est-à-dire que le feu ne peut jamais avoir assez de comburant (le dioxygène contenu dans l'air), pour achever la réaction d'oxydoréduction.
La combustion incomplète a donc deux effets : elle ne permet pas d'exploiter tout le potentiel énergétique du combustible et peut être davantage polluante.
LE PRINCIPE DE LA POST COMBUSTION
Pour compenser cette combustion incomplète, la seule solution est donc d'exploiter ces gaz issus de la première combustion. Pour cela, il faut une seconde arrivée d'air qui apportera du comburant (toujours le dioxygène) qui servira à « brûler » ces gaz : la première arrivée d'air apportant le comburant de la première combustion.
Cependant, l'air comburant nécessaire à la combustion des gaz issus de la première combustion doit impérativement avoir une température minimum de 573°C. Sans quoi, il ne peut y avoir de seconde combustion. En outre, il faut pouvoir ralentir l'évacuation de ces gaz pour pouvoir les brûler avant qu'ils s'échappent par le conduit.
C'est pour répondre à cette double exigence que les poêles à double combustion bénéficient d'une conception spécifique qui permet d'une part de ralentir les gaz et de les récupérer et d'autre part de réchauffer, grâce à l'énergie générée par la combustion, l'air secondaire.
Il y a ainsi bel et bien une seconde combustion, qui se fait après la première (d'où les désignations de double ou post combustion) et qui permet d'augmenter la récupération de l'énergie produite par le combustible (et donc le rendement du poêle) et de limiter les émissions de polluants.
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FAIRE UNE ARRIVÉE D'AIR EN HAUT DE LA MONTÉE ?LE PRINCIPE DE LA POST COMBUSTION
Pour compenser cette combustion incomplète, la seule solution est donc d'exploiter ces gaz issus de la première combustion. Pour cela, il faut une seconde arrivée d'air qui apportera du comburant
MAIS CETTE ARRIVÉE D'AIR DOIT AVOIR 1064 DEGRÉ FAHRENHEIT ? C'EST ÇA ?(toujours le dioxygène) qui servira à « brûler » ces gaz : la première arrivée d'air apportant le comburant de la première combustion.
Cependant, l'air comburant nécessaire à la combustion des gaz issus de la première combustion doit impérativement avoir une température minimum de 573°C.
.EN CONTROLANT LA TIRE ? , EN ÉLARGISSANT L'ESPACE ENTRE LA PANNE ET LE FOND DE L'ÉVAPO ?Sans quoi, il ne peut y avoir de seconde combustion. En outre, il faut pouvoir ralentir l'évacuation de ces gaz pour pouvoir les brûler avant qu'ils s'échappent par le conduit
Y'A TU MOYEN DE TROUVER DES IMAGES QUI ''L'EXPLIQUE''C'est pour répondre à cette double exigence que les poêles à double combustion bénéficient d'une conception spécifique qui permet d'une part de ralentir les gaz et de les récupérer et d'autre part de réchauffer, grâce à l'énergie générée par la combustion, l'air secondaire.
Il y a ainsi bel et bien une seconde combustion, qui se fait après la première (d'où les désignations de double ou post combustion) et qui permet d'augmenter la récupération de l'énergie produite par le combustible (et donc le rendement du poêle) et de limiter les émissions de polluants.
COMME L'A DIT MARTIN LUTHER KING ET CASSEAU : I HAVE A DREAM !!
- casseau
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je sais pas si c'est un ''dream'' mais j'aimerais bien tester un modèle du genre sur un 18x60 avec une porte de vitre pour voir la combustion secondaire.Si sa prend de l'air a 573 c pour etre efficace, l'air devrait se réchauffer parce qu'il aurait une face du 2x2 qui se ferait chauffer.Clic sur la photo pour mieux voir
j'irais même a mettre le tube 2x2 en plein milieu du mur, ou tout au moins au dessus de la 1 ere rangée de brique du mur, pour qu'il ait une chaleur directe..
ensuite, c'est de déterminer le meilleur emplacement du diffuseur et de ses jets.. là est le hic..
ensuite, c'est de déterminer le meilleur emplacement du diffuseur et de ses jets.. là est le hic..
- SylvainAdmin
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